En 2009 et dans la perspective de répondre au cahier des charges de l'EURO 2016, la FFF (Fédération Française de Football) et la Ville avaient commandé chacune une étude. Les conclusions des rapports mentionnaient :
- Étude pour le compte de la FFF : autour de 110M€ TTC avec une baisse de la capacité à 32 000 places.
- Étude du cabinet ISC pour le compte de la Ville : autour de 86M€ TTC pour une jauge de 40 000 places.
Plus récemment (en 2016), le cabinet AIA a également étudié les modalités, contraintes et coûts pour une rénovation structurelle du stade de la Beaujoire.
L'estimation des travaux portait sur
- 131M€ HT (option de base à 34 000 places avec tribune Ouest reconstruite) ;
- 153M€ TTC (option 1 à 39 000 places avec la tribune Ouest reconstruite) ;
- 193M€ TTC (option 2 à 36 000 places avec les tribunes Ouest et Est reconstruites).
Étant entendu, comme précisé par ailleurs (réponse a) que la Métropole ne souhaite plus dépenser d’argent public pour le stade, tout en étant favorable à un financement privé, qui ne pèse pas sur ses citoyens et tout en faisant rayonner la Métropole. Le Club ne peut envisager d'investir qu'à trois conditions :
- Disposer d'une infrastructure moderne, performante et dimensionnée pour lui permettre de franchir un nouveau cap, sans contrainte de l'existant : ce qui veut dire construire, non rénover.
- Devenir propriétaire et non plus être locataire, compte tenu des montants conséquents à investir.
- Garantir la continuité de l’activité et ne pas avoir de manque à gagner, ce qui serait inévitable dans le cas d'une rénovation structurelle, pendant les phases de travaux qui, en fonction des options, dureraient de 2 à 4 ans ; le stade serait alors amputé d'un nombre de places conséquents.